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SALON
Pour ses 100 ans, le Sima se veut à la pointe des nouvelles technologies

Le Sima, Salon international du machinisme agricole, s’affiche pour ses 100 ans comme le Salon des solutions et technologies pour une agriculture performante et durable (Sima). Il se tiendra du 6 au 10 novembre à Villepinte-Paris.

Le Sima, qui se tiendra du 6 au 10 novembre à Villepinte-Paris, fête ses 100 ans.
Le Sima, qui se tiendra du 6 au 10 novembre à Villepinte-Paris, fête ses 100 ans.
© SIMA

Après deux années d’absence, le Sima signe son grand retour à Villepinte-Paris. Du 6 au 10 novembre 2022, les professionnels pourront profiter de la traditionnelle présentation des équipements agricoles, avec une nouvelle volonté de taille. Selon Isabelle Alfano, directrice du Sima, « les chefs d’exploitation font dorénavant face à des enjeux de performance et durabilité ». Ce prochain Salon, qui fêtera son centenaire, affiche donc clairement sa mission : présenter les solutions et les technologies dédiées au développement d’une agriculture durable et performante.

La robotique agricole en plein boom

Pour cela, le Sima va réorganiser une partie de l’espace et présenter des matériels et solutions primés au Sima Innovation Awards. L’espace Sima Tech regroupera, quant à lui, cent cinquante exposants, start-up et robots agricoles. Enfin, le nouveau concours Sima Farming Awards valorisera les réa-
lisations d’agriculteurs européens engagés dans une démarche durable. La start-up iséroise Meropy exposera son nouveau robot scouting SentiV équipé d’un GPS. D’un poids de 15 kg, son utilisation est essentiellement destinée aux producteurs d’orge et de blé pour surveiller l’arrivée d’adventices, de maladies et de ravageurs via des caméras qui déclenchent un scan par seconde. Pour l’instant, cette technologie est seulement disponible sous forme de location. L’utilisation de panneaux photovoltaïques sera également mise à l’honneur avec la société Valorem. Née à Bordeaux, cette dernière installe des systèmes photovoltaïques sur toitures et ombrières dans des exploitations agricoles via un bail emphytéotique, assurant une indemnisation au propriétaire du terrain occupé. L’électricité produite est ensuite revendue à des entreprises très consommatrices en énergie. Cette pratique, surtout développée dans le Sud-ouest de la France au sein d’élevage ovin, cherche peu à peu à faire sa place dans le reste du territoire.
 

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